La Trinité-Porhoet porte:
de gueules au donjon couvert d’or, ajouré et maçonné de sable ; au franc-canton d'hermine
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de La Trinité-Porhoet
Une tradition locale laisse entendre que le village de Neffes, village des Hautes-Alpes, en sud Dauphiné et France, possédait trois portes.
L'une de ces portes, la plus grandiose, prestigieuse, sans pareille au monde, s'appelait Albine.
Ces trois portes ont disparu sans laisser de traces...
Il était dit aux petits enfants indociles, autrefois et peut-être encore dans bien des familles, que le Croque-Mitaines, espèce d'ogre très présent dans la ville, viendrait les dévorer.
Avec son grand âge, les dents du Croque-Mitaines étant tombées et celui-ci maintenant édenté, il se contente de fouetter et enfermer au cachot les petits parisiens pas sages, ceci, bien sûr, avec les lumières du siècle.
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par La Trinité-Porhoet ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de La Trinité-Porhoet, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
⤇ L'école de Saumur
Dans les parages ministériels, le bruit court que l'école militaire de Saumur pourrait bien être supprimée et réorganisée sur le même pied que l'école de Saint-Maixent.
Mr le colonel de Roys, commandant l'école de cavalerie de Saumur, va être mis en disponibilité. Les journaux radicaux l'accusent d'être légitimiste et c'est, paraît-il, un crime irrémissible. Son prédécesseur, le général de l'Hotte, avait été remercié de ses services pour le même motif. Nous ignorons si un tel reproche adressé à nos deux braves militaires est fondé, comme nous le désirons.
Ce qui est certain, c'est que M de Roys, comme M de l'Hotte, comme la plupart des officiers de cavalerie, sont des hommes de bon ton et M. Farre, comme la plupart des républicains, est bien près de confondre bonne éducation avec opinion royaliste.
Cette mesure projetée a tout spécialement froissé le général de Gallifet, prince de Martigues, qui sort lui-même des rangs de la cavalerie et manifeste un véritable écoeurement. Ses amis assurent qu'il parle de se brouiller avec la République.
LE PETIT BRETON, 1° février 1881
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Laugier, sacristain à Blégiers
À l'époque, être sacristain n'était pas bénévolat mais un métier à part entière et l'homme était salarié par la paroisse et paroissiens qu'il servait.
La rémunération du sacristain se négociait et contrat était signé ; parfois certains droits disparaissaient, d'autres apparaissaient mais, en moyenne, les rémunérations étaient stables.
Le sacristain de Blégiers, ancienne commune des Alpes-de-Haute-Provence, recut une compensation lui permettant de s'assurer des revenus suffisants. Peu avant l'année 1526, lui fut confirmé des droits décimaux sur la prébende de Blégiers. L'acte d'arrentement, facturé 35 écus, fixait la prébende du sieur sacristain, un certain Laugier, consistant en la moitié du dixième du blé du lieu de Blégiers, ainsi que l'usage d'un bâtiment et petit jardin joignant au quartier du Bourg. Le tout valant en tout 450 livres de rente annuelle.
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de La Trinité-Porhoet ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À La Trinité-Porhoet ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
Ermite en Campanie
Cet ermite vécut au Monastère du Mont Cassin au VI° siècle ; il y était déja quand arriva Saint Benoît. Trouvant que sa vie monastique était trop agitée, il fait choix de solitude et se retire dans une cavité rocheuse sur le Mont Massico. Comme tout bon anachorète, il passe sa vie à prier, faire pénitence et contempler ce monde dont il est retiré.
Genveur a lavar
Ez eus vi gant ar yar. Le gentil janvier dit
Qu'il est oeuf dans la poule.
⤇ Grand mais usagé - 1937
Adolf dit à un de ses petits camarades:
- Regarde cette belle trottinette que mon arrière-grand-père m'a acheté.
- C'est quoi un arrière-grand-père, demande le petit camarade.
- C'est un grand-père qui a déjà servi deux fois, répond le petit Adolf.
Nous remercions les différents contributeurs de La Trinité-Porhoet.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !