Saint-André-de-Rosans porte:
d'argent au sautoir de gueules chargé d'une salamandre d'or et accompagné de quatre mouchetures d'hermine de sable
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Saint-André-de-Rosans
Autrefois, les femmes des marins étant longtemps sans nouvelle de leurs maris ou d'un proche parti en mer, venaient en pèlerinage à la chapelle de Sant-Loup-ar-bihan - Saint-Loup-le-Petit et allumaient un cierge au pied du saint. Si la flamme était brillante, ferme et joyeuse: le mari ou proche se portait bien ; si la flamme était terne, fragile ou s'éteignait: le mari ou proche était mort.
Le Chemin à la Reine est témoin d'une terrible chasse les nuits de septembre et d'octobre ; une meute infernale aboie tout au long de ce vieux chemin et ses hurlements glacent les os des plus courageux. Après s'être séparés en deux bandes, la meute se tait alors, un groupe se dirigeant vers les bois de Rédurin et l'autre courant sus vers Conquerel à travers les landes de Lugançon. Cette meute est formée de seigneurs impies qui chassèrent les dimanches au lieu d'aller à la messe. Le plus cruel d'entre eux s'appelle Gallery.
Il est à éviter sous peine de morsures effroyables !
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Saint-André-de-Rosans ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Nés dans la commune, ils connurent une certaine notoriété nationale ou internationale, régionale ou locale et méritent d'être mieux connus.
Ils étaient écrivains, militaires, religieux, peintres ou autres activités et brillèrent dans leur domaine ou marquèrent les esprits et l'Histoire locale comme, à titre d'exemple,
Ils sont célébrités de Saint-André-de-Rosans
Habitants de Saint-André-de-Rosans, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
⤇ Glissement de terrain
Saint-André-de-Rosans, 27 décembre - À la limite du département de la Drôme, des glissements de terrains et des éboulements de plusieurs centaines de mètres cubes ont obstrué à Saint-André-de-Rosans sur plus de cinq cents mètres la route nationale 549, de Nyons à Marseille. Des pylônes de support de la ligne à haute tension ont été renversés.
L'ACTION FRANÇAISE - 18 février 1885
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Laugier, sacristain à Blégiers
À l'époque, être sacristain n'était pas bénévolat mais un métier à part entière et l'homme était salarié par la paroisse et paroissiens qu'il servait.
La rémunération du sacristain se négociait et contrat était signé ; parfois certains droits disparaissaient, d'autres apparaissaient mais, en moyenne, les rémunérations étaient stables.
Le sacristain de Blégiers, ancienne commune des Alpes-de-Haute-Provence, recut une compensation lui permettant de s'assurer des revenus suffisants. Peu avant l'année 1526, lui fut confirmé des droits décimaux sur la prébende de Blégiers. L'acte d'arrentement, facturé 35 écus, fixait la prébende du sieur sacristain, un certain Laugier, consistant en la moitié du dixième du blé du lieu de Blégiers, ainsi que l'usage d'un bâtiment et petit jardin joignant au quartier du Bourg. Le tout valant en tout 450 livres de rente annuelle.
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Saint-André-de-Rosans ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Saint-André-de-Rosans ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
Sainte - XVII° siècle
Peu gâtée de nature, née en 1579, Germaine est scrofuleuse, difforme, particulièrement laide. Son père, veuf, se remariant, sa marâtre la haït et la maltraite continuellement. Gardant les vaches aux champs, discriminée,, elle trouve le temps d'assister à la messe tous les matins ; son bétail laissé seul ne fera jamais de dégâts.
Morte à 22 ans, le 15 juin 1601, les miracles se multipliant autour d'elle, elle est béatifiée en 1867.
⤇ Courtoise amitié - Année 1903
Un des plus insipide orateur de la Chambre se livre aux douceurs de la pêche à la ligne avec un de ses amis
Ayant capturé un goujon, il le montre à son ami.
- Vois comme il baille, dit-il.
- C'est étonnant, tu n'as pourtant encore rien dit !
Nous remercions les différents contributeurs de Saint-André-de-Rosans.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !