

Porcaro est une commune de 600 habitants en département de Morbihan qui vous sera d'agréable visite.
Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...
N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.
Avec nos remerciements pour vos participations et aides.

Découvrez la carte du territoire concerné.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.

Porcaro, en breton Porzh-Karozh, est attesté en 1142 avec un porcaro identique à celu ique l'on retrouve actuellement.
Ce toponyme est formé du mot breton Porzh - cour fermée et de Karozh - Caro, commune proche.

Porcaro porte:
de gueules au héron d'argent
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Porcaro

La route allant de Ioujno-Sakhalinsk au village d'Okhotskoye recèle un endroit extraordinaire voyant les lois de la physique s'inverser.
25 km après Ioujno, il faut accélérer en descente, freiner en montée et remarquer que l'eau coule vers le côté de la chaussée.
Le plus impressionnant est que les GPS s'expriment soudain avec une voix masculine et vous disent de faire attention aux ours traversant hors clous !

Autrefois, à Bouligneux, comme dans les Dombes, les fièvres liées aux marais et étangs étaient importantes et faisaient des ravages.
Pour s'en protéger, les habitants, au solstice d'été, allaient près du cours de la Chalaronne y adorer le Soleil au Levant.
Ceci fait, ils jetaient un soleil de paille dans la rivière en remerciant le soleil.
La guérison était assurée !

Si, lors de vos vacances, vous souhaitez vendre du gros ou menu bétail - bovins, ovins, caprins, autres - souveznez-vous de ne jamais livrer une bête sans avoir adroitement enlevé une touffe de poils de la queue des bovins et des caprins, ou un flocon de laine pris sur le dos des ovins. Vous conserverez précieusement cette touffe de poils ou de laine et la jetterez au milieu des bêtes qui vous restent.
Oubliez ces prescriptions et vous risquez de voir la fortune de votre étable et de votre troupeau s'en aller ailleurs...
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Porcaro ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Porcaro, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.

⤇ Un vol à l'Américaine
Mr Jean Binio, cultivateur à Porcaro, a été victime d'un vol commis par deux individus restés jusqu'ici inconnus. Etant venu à la foire de Redon pour acheter des boeufs, Mr Binio se promenait sur le marché quand il fut invité à prendre un verre par deux particuliers d'une mine très correcte; la conversation s'engagea et, à un certain moment, l'un d'eux demanda à M. Binio s'il connaissait Saint-Nicolas-de-Redon et s'il voulait bien les y conduire, lui offrant pour le dédommager de s apeine, un billet de 50 francs. Celui-ci accepta. Chemin faisant, le même individu le pria de lui confier son porte-monnaie pour le lui garder, et lui remit comme garantie deux enveloppes, lesquelles, d'après lui, contenaient des billets de banque; n'ayant aucune méfiance, Mr Binio y consentit.
À peine avaient-ils fait cent mètres, il fut convenu de se rendre en voiture à Saint Nicolas et l'un de ces habiles escrocs se détacha pour se mettre en quête d'une voiture. Ne le voyant pas venir, son compagnon dit à Binio qu'il allait à sa rencontre; mais comme son acolyte, ce dernier ne revint pas; ce que voyant, le trop confiant Binio ouvrit les enveloppes et constata qu'elles ne contenaient que de vieux journaux.
La somme ainsi soustraite à ce naïf cultivateur s'élève à 429 Francs.
LE COURRIER BRETON - 2 novembre 1902
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...

⤇ À trop en vouloir !
Pontis est agréable commune des Alpes-de-Haute-Provence, en France. Le village fut secoué par une dispute liées aux taxes prélevées pour le passage sur les terres alors seigneuriales. Les bons mais aussi intéressés Seigneurs de Pontis.
Boniface et son fils, Guillaume, furent accusés en 1353 d'exiger des droits de péage excessifs ; qui de plus, les armes à la main.
La machine judiciaire fut lancée et, après moult rebondissements, plaintes, témoignages et autres recours, l'affaire ne trouva réponse définitive et formelle qu'en 1759 !
Célérité de la la Justice...
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Porcaro ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Porcaro ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !

Veuve - XII° siècle
Hongroise, Élisabeth, est fiancée à 4 ans et mariée à 14 au Landgrave de Thuringe ; le couple est sincère. Rencontrant des franciscains, se mettant au service des pauvres, elle est veuve à 20 ans et attend son 3° enfant. Chassée par sa belle-famille car refusant de se remarier ; elle se retrouve habiter une porcherie dit la légende. Son oncle, évêque de Bamberg, la voit revêtir la bure, sa famille se charge de l'éducation de ses trois enfants. Elle meurt à 24 ans en 1231.

Meurzh gant ur c'hwezadenn
A zisec'h ar foz penn-da-benn.Mars, d'un souffle
dessèche le fossé d'un bout à l'autre

⤇ Aux Tuileries - Année 1881
Aux Tuileries, deux bébés causent.
- À quoi sert la bouche ?
Pour manger.
- Pourquoi les yeux ?
Pour voir.
- Pourquoi le nez ?
Pour mettre les doigts dedans !
Nous remercions les différents contributeurs de Porcaro.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !