

La Bâtie-des-Fonds est un minuscule village de la Drôme dont il ne reste que quelques maisons éparses.
En 1936, suite à pluies diluviennes, un glissement de terrain voit plus de la moitié du village emporté, dont l'église paroissiale. S'il n'y eu aucun mort, jamais, La Bâtie-des-Fonds ne retrouvera sa vie d'antan et verra le village à la limite de l'abandon.
Il est particulièrement plaisant de boire à la source de la Drôme, surtout l'été quand les chaleurs déssèchent les gosiers.

Découvrez la carte du territoire concerné.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Quelques photographies vous permettant de jeter un premier coup d'œil sur la commune ou ses paysages...
Toutes les photographies présentées sont réalisées sans manipulations informatiques, ajouts, rectifications, ou autre artifice déformant la réalité des lieux.
Elles sont aussi le fait d'amateurs et sont donc à la portée de chacun d'entre nous.

La Bâtie-des-Fonds porte:
n'étant pas encore vérifié, nous leur avons donné un blason d'attente de gueules plain
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de La Bâtie-des-Fonds


Comme partout, Saint-Véran voyait certains rites pratiqués lors des fiançailles et du mariage.
Le Rite de la Barrière, aux racines bien profondes, voyaient le nouveau marié devoir payer obole s'il n'était originaire de Saint-Véran. Deux tables placées à l'entrée de la commune et chargées de verres et bouteilles étaient reliées par un ruban fermant le chemin. Le nouveau marié devait déposait obole au bénéfice de le jeunesse, obole qui ouvrait la route.

Autrefois, les femmes des marins étant longtemps sans nouvelle de leurs maris ou d'un proche parti en mer, venait en pèlerinage à la chapelle de Sant-Loup-ar-bihan - Saint-Loup-le-Petit et allumaient un cierge au pied du saint. Si la flamme était brillante, ferme et joyeuse: le mari ou proche se portait bien ; si la flamme était terne, fragile ou s'éteignait: le mari ou proche était mort.
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par La Bâtie-des-Fonds ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de La Bâtie-des-Fonds, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...

⤇ Musique ou châtiment ?
En 1431, visitant Sisteron, superbe ville des Alpes-de-Haute-Provence, le Nonce apostolique du pape Eugène IV°, célébrant la messe en la Cathédrale Notre-Dame des Pommiers, horrifié par l'horrible prestation musicale des chantres et salariés de l'Église, se mit en colère et imposa à tous, ecclésiastiques et laïcs préposés à la cathédrale, d'apprendre à chanter et à jouer de la musique:; il revint un an plus tard vérifier le travail et les progrès...
C'est en 1983 que Sisteron ouvrira une école de musique qui rayonne maintenant sur toutes les communes environnantes...
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de La Bâtie-des-Fonds ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À La Bâtie-des-Fonds ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !

Veuve - XII° siècle
Hongroise, Élisabeth, est fiancée à 4 ans et mariée à 14 au Landgrave de Thuringe ; le couple est sincère. Rencontrant des franciscains, se mettant au service des pauvres, elle est veuve à 20 ans et attend son 3° enfant. Chassée par sa belle-famille car refusant de se remarier ; elle se retrouve habiter une porcherie dit la légende. Son oncle, évêque de Bamberg, la voit revêtir la bure, sa famille se charge de l'éducation de ses trois enfants. Elle meurt à 24 ans en 1231.

Mars haleux
Marie la fille du laboureux.

⤇ Entre valets - Année 1896
Chez le marchand de vins, entre valets de chambre :
- Moi, mon maître est très doux et pas regardant sur son vin et ses cigares ; mais il y a une chose qui me vexe : il me donne ses vieux habits, mais il retire le ruban de la Légion d’Honneur.
Nous remercions les différents contributeurs de La Bâtie-des-Fonds.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !