Agnielles-en-Bochaine est une ancienne commune des Hautes-Alpes qui fut absorbée par Aspres-sur-Buëch en l'année 1933. Le village est maintenant vide d'habitants mais est but de balade bien agréable.
Après avoir remonté les Gorges d'Agnielles, à pied ou en voiture sur approximativement 4km en longeant le Rif éponyme, vous arriverez enfin à l'ancien village d'Agnielles et pourrez imaginer la vie en ces lieux.
Une superbe balade alors, allez, du jarret !
Découvrez la carte du territoire concerné.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Quelques photographies vous permettant de jeter un premier coup d'œil sur la commune ou ses paysages...
Toutes les photographies présentées sont réalisées sans manipulations informatiques, ajouts, rectifications, ou autre artifice déformant la réalité des lieux.
Elles sont aussi le fait d'amateurs et sont donc à la portée de chacun d'entre nous.
Agnielles-en-Bochaine se retrouve cité en 1155 dans les archives du Monastère de Durbon avec un Agnelles puis, en 1161, sous la forme Agnella. Ultérieurement, nous retrouvons des Anella en 1233, 1276 et 1359 avec un toponyme particulièreement stable.
Ce toponyme rappellerait l'existence de pâturages voyant beaux troupeaux de moutons, ou une estive utilisée lorsque les brebis mettaient bas.
Agnielles-en-Bochaîne porte:
n'ayant pas de blason, nous lui avons donné un blason d'attente de sinople plain
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Agnielles-en-Bochaîne
Les Agniellards, des agneaux ?
Les rivalités de pâturages furent nombreuses dans la région et les bagarres parfois mémorables.
La Chartreuse de Durbon et les habitants d'Agnielles se disputèrent les alpages et en vinrent régulièrement à vigoureuses disputes, se distribuant plaies, bosses et horions avec une courtoisie qui vous surprendra...
La route allant de Ioujno-Sakhalinsk au village d'Okhotskoye recèle un endroit extraordinaire voyant les lois de la physique s'inverser.
25 km après Ioujno, il faut accélérer en descente, freiner en montée et remarquer que l'eau coule vers le côté de la chaussée.
Le plus impressionnant est que les GPS s'expriment soudain avec une voix masculine et vous disent de faire attention aux ours traversant hors clous !
Comme partout, Saint-Véran voyait certains rites pratiqués lors des fiançailles et du mariage.
Le Rite de la Barrière, aux racines bien profondes, voyaient le nouveau marié devoir payer obole s'il n'était originaire de Saint-Véran. Deux tables placées à l'entrée de la commune et chargées de verres et bouteilles étaient reliées par un ruban fermant le chemin. Le nouveau marié devait déposait obole au bénéfice de le jeunesse, obole qui ouvrait la route.
Tréouergat, commune de Bretagne, et toutes les côtes bretonnes, comme toutes les côtes du monde, furent le lieu de croyances et superstitions liées à la mer.
Ces croyances et superstitions n'ont pas disparu, elles ont simplement changé de genre et lieu.
Par le passé, sur les côtes de Tréouergat à Saint-Malo, si on couvrait dès la naissance un nourrisson dans une vareuse de marin, il serait protégé des maladies et des rhumatismes.
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Agnielles-en-Bochaîne ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Agnielles-en-Bochaîne, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Découverte à Tumiac
Le 21 juillet 1853, en Bretagne, une curieuse découverte fut réalisée à Arzon dans la presqu'île de Rhuys.
La tradition rapportait qu'un tunnel partait depuis le Tumulus de Tumiac, passait sous le chromlec'h d'Er Lannig et menait au Cairn de Gavrinis. Bien sûr, ce souterrain voyait somptueux trésors ajoutant diamants, émeraudes et autres pierres aux ors et argents encombrant le souterrain et ses multiples salles. Émoustillés par la promesses de ces trésors, un trou de 30 centimètres fut creusé entre deux dalles de la Butte de César, autre nom du tumulus. La découverte fut impressionnante, non pour les chercheurs de trésors mais pour les archéologues de l'époque et membres de la Société Polymatique du Morbihan qui y dépêcha plusieurs membres.
Les fouilles réalisées permirent de découvrir multiples artefacts de ce monde néolithique que l'on appelait encore période druidique.
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Agnielles-en-Bochaîne ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Agnielles-en-Bochaîne ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
Sainte - XVII° siècle
Peu gâtée de nature, née en 1579, Germaine est scrofuleuse, difforme, particulièrement laide. Son père, veuf, se remariant, sa marâtre la haït et la maltraite continuellement. Gardant les vaches aux champs, discriminée,, elle trouve le temps d'assister à la messe tous les matins ; son bétail laissé seul ne fera jamais de dégâts.
Morte à 22 ans, le 15 juin 1601, les miracles se multipliant autour d'elle, elle est béatifiée en 1867.
⤇ Précision importante - Année 1937
À l'école, le maître avait donné un sujet de composition française à ses élèves. Il leur demandait de décrire la chose la plus drôle qu'il aient jamais vue.
Pendant que les élèves s'appliquaient, Gaston, flemmard de service, restait les bras croisés au fond de la classe.
L'instituteur vint alors vérifier son travail et se penchant sur la copie, put y lire:
La chose la plus drôle que j'aie jamais vue est impossible à décrire.
Nous remercions les différents contributeurs de Agnielles-en-Bochaîne.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !